Histoire de l'Eglise en Corrèze

dimanche 21 mars 2010

Full Worship à St Cernin de Larche


Un repas concert s'est déroulé le 13 février 2010 à la salle des fêtes de
St Cernin de Larche.



Pourquoi organiser un repas - concert ?

L'évangélisation dans notre département doit s'amplifier, quoi de mieux que d'organiser un événement en dehors de nos murs, qui pourrait attirer et motiver certaines personnes qui n'osent pas franchir le cap de rentrer dans l'Eglise !

Notre repas s'est articulé autour du thème "Saveurs du monde", chaque chrétien a d˚ se mettre aux fourneaux afin de régaler les estomacs présents et venus en nombre pour l'occasion, plus d'une centaine de personnes ont répondu à l'invitation dont une vingtaine de nouvelles ! Pendant la dégustation de ces mets excellents, le groupe Full Worship a assuré la partie musicale.

Nous avons eu de très bons retours de cette soirée, beaucoup de personnes ont
été surprises par ce qu'elles ont entendu, très touches de voir que ces chants ne parlaient pas d'une religion mais bien de Dieu, étonnées aussi que nous puissions parler d'amour, un réel message qui a su bouleversé des coeurs !

Au cours de la soirée, Bernard a pu témoigner publiquement du changement que Dieu a opéré dans sa vie en 2003.
Prisonnier de l'alcool depuis plusieurs années, Bernard s'est tourne vers le Seigneur pour obtenir la délivrance dont il avait
besoin, Dieu n'est pas resté sourd à cet appel, il a exaucé la prière de son enfant. Depuis, Bernard n'a plus jamais retouché une goutte d'alcool !

La puissance de Dieu est vraiment celle qui libéré ! Pour venir appuyer ce témoignage, le groupe de jeunesse s'est illustré dans un mime représentant un homme prisonnier de plusieurs maux tels que l'alcool,la haine, la dépression qui pousse au suicide ...

Nous avons pu voir que le Diable rude et prend un malin plaisir à nous détruire, mais devant un tel désarroi, cet homme "enchaîné" s'est tourne vers Dieu, lui demandant secours et délivrance, Dieu ne rejette jamais celui qui décide de venir à Lui. En cette soirée du 13 février, plusieurs "graines" ont été semées dans les coeurs, prions pour que les "mauvaises herbes" ne viennent pas détruire le travail accompli,mais que la parole de Dieu puisse travailler les âmes et qu'elles ne retournent pas à Lui sans effet.

Le Groupe Full Worship


Edito du lien d'avril 2010

Demandez la pluie !


Zacharie 10 : 1 « Demandez à l’Eternel la pluie, la pluie du printemps ! Et il vous enverra une abondante pluie, il donnera à chacun de l’herbe dans son champ. »


Le climat de la Syrie et de la Palestine se caractérise par une division de l’année en saison des pluies et saison sèche.

Vers la fin d’octobre, une forte pluie souvent orageuse commence par intervalles, pendant un ou plusieurs jours à la fois. La Bible l’appelle pluie de la première saison (Jérémie 5:24). Son nom hébreu est Yoreh « la torrentielle ». Elle ouvre l’année agricole en amollissant le sol durci et craquelé par la sécheresse de l’été, et le labourage peut commencer, suivi par les semailles. Jusqu’à la fin de novembre, la moyenne des pluies n’est pas très élevée, mais elle augmente de décembre à février.

Les pluies de l’arrière-saison (hébreu Malgoch), sont les lourdes averses de mars au milieu d’avril. Elles sont particulièrement appréciées, tombant avant la moisson et la longue sécheresse des mois d’été.

La fréquente mention des pluies de la première et de l’arrière-saison ne devrait cependant pas donner l’impression qu’il n’y a des averses que vers les équinoxes d’automne et de printemps. L’hiver lui-même fait partie de la saison des pluies, comme le dit le poète hébreu : « l’hiver est passé, la pluie a cessé, elle s’en est allée » (Ca 2:11).

La pluie de l’arrière saison était attendue avec impatience ; elle précédait la période la moisson. Elle était synonyme de bénédiction et son absence était considérée comme une véritable catastrophe, voire même parfois comme un châtiment de Dieu.


C’est dans la perspective de la restauration de son peuple Israël, que le Seigneur, au travers de son prophète, annonce qu’il enverra la pluie de l’arrière saison.


Cette pluie de l’arrière saison est évocatrice, pour nous aujourd’hui, de la bénédiction que Dieu envoie et veut répandre sur son Eglise aujourd’hui.


Elle a pour fonction de rafraîchir notre foi, de restaurer le règne de Dieu dans nos vies, de sanctifier nos vies et d’unifier son Eglise afin d’être ce peuple au travers duquel les puissances occultes connaissent la sagesse infiniment varie de Dieu et sa Toute Puissance, en un mot, un véritable réveil selon Dieu.



Le Saint-Esprit est porteur de cette bénédiction : l’effusion de l’Esprit au jour de la Pentecôte a renforcé les bases de la foi de l’Eglise naissante et l’a amené à se développer davantage. Le sacrifice de Jésus précède l’effusion de l’Esprit : il est la source et l’étape essentielle pour vivre cette bénédiction de « la pluie rafraichissante » dont l’Esprit de Dieu est porteur.


Comment recevoir cette pluie du réveil ?


« Demandez à Dieu » dit le prophète, en mettant de côté nos assurances vaines et fragiles tel que décrit l’homme de Dieu.

« Ce n’est ni par la force, ni par la puissance mais par mon Esprit » dit Dieu.

C’est pourquoi faisons de la prière, de la consécration, de la foi en Dieu un moteur de notre foi sans lequel le ciel restera fermé.

Que la pluie bienfaisante de la bénédiction de Dieu se répande dans toute la Corrèze et que nos Eglises croissent sous l’assistance du Saint-Esprit !


Robert YNAM

Les mains


Instrument merveilleux,
Donné par notre Dieu,
Qui va réaliser,
De l’homme les projets ;
Outil qui peut construire,
Aussi bien que détruire,
Qui va tantôt frapper,
Et bientôt caresser.

Prolongement du cœur,
Fait un monde meilleur,
Engendre la détresse,
Quand muent par la paresse ;
Elles peuvent faire mourir,
Aussi bien que nourrir,
Si tu les tiens ouvertes
Les fermes, les rends muettes.

De l’essence du cœur,
Dépendra leur ardeur.
L’Esprit les rend sublime,
Si dés lors les anime.
Que Jésus soit pour elles,
La moelle substancielle,
Et le monde à l’entour,
Ne sera plus vautour.

Mais lorsque le chrétien,
Dans sa poche les tiens,
Et n’est plus pour les siens,
Qu’un simple bon à rien,
Il se dessèche alors,
Et ne peut plus éclore,
Car comme la mer morte,
Qui pourtant parait forte,
Reçoit sans restituer,
L’eau qui lui est donnée,
La Vie va s’en aller,
Doucement s’étioler.

Il faut beaucoup donner,
Pour être alimenté,
Car la source ne coule,
Que si l’eau s’en écoule.

Michel Coyaud